FAQ

Questions fréquentes

Q – Je désire modifier ou ajouter des informations à mon profil sur la plateforme AkiCentral.

R – Veuillez nous faire parvenir les informations suivantes à notre service à clientèle à l’adresse iot@akisens.com, ou nous contacter par téléphone au 1-844-333-7018 : 1. Nom et prénom ; 2. Préférence linguistique ; 3. Numéro de téléphone et de portable ; 4. Adresse électronique ; 5. Adresse et numéro d’unité.

 

Q – J’ai des questions générales concernant mon système AkiSens. 

R – Nous joindre par téléphone au 1-844-333-7018 ou par courriel à l’adresse iot@akisens.com. 

 

Q – J’ai reçu une alerte concernant une détection d’eau et la valve automatique s’est fermée. Que dois-je faire ? 

R – Connectez-vous à votre profil sur la plateforme AkiCentral où, consultez la notification reçue par texto ou par courriel, afin de connaitre la cause. Ensuite, asséchez délicatement la sonde avec un mouchoir ou une serviette sèche. Une fois la sonde bien essuyée, appuyez sur le bouton « ouvrir » du contrôleur (bouton de gauche) et maintenez-le enfoncé pendant cinq secondes. Relâchez le bouton (un délai de 5 à 20 secondes s’écoulera avant l’ouverture de la ou des valves). 

 

Q – J’ai remarqué une petite lumière verte qui clignote sur une sonde. Que dois-je faire ? 

R – Lorsqu’une lumière verte clignote sur une sonde, il s’agit d’une sonde en alerte. Dans ce cas, essuyer l’eau détectée par la sonde. Si cela ne fonctionne pas, nous appeler pour plus d’assistance. 

 

Q – Je reçois une notification d’absence. Que signifie-t-elle? 

R – Après plus de 24 heures d’absence, le système AkiSens ferme automatiquement vos valves et vous envoie une notification. À votre retour, le détecteur de mouvements reconnaît votre présence et procède automatiquement à l’ouverture des valves de votre unité. 

 

Q – Je reçois continuellement une notification concernant mon débitmètre. Que dois-je faire? 

R – Dans la plupart des cas, il peut s’agir du clapet de votre toilette qui ne se ferme pas correctement. Il est important de s’assurer que le clapet est correctement positionné et fermé. Si vous croyez que ce n’est pas le clapet, effectuer une vérification de votre robinetterie (robinets, tuyau d’arrosage extérieur etc.), pour vous assurer qu’ils sont tous fermés. Ou bien, assurez-vous que vous ne dépassez pas 30 minutes d’utilisation consécutive de l’eau, par exemple pour remplir un bain. Si vous ne parvenez pas à trouver la cause du problème, veuillez contacter notre service à la clientèle pour obtenir une assistance supplémentaire. AkiSens – 1-844-333-7018 – iot@akisens.com 

 

Q – Mon assureur me demande un certificat d’installation. Que dois-je faire ? 

R – Ce certificat est disponible sur la plateforme AkiCentral dans votre profil client. Si vous ne parvenez pas à télécharger le certificat, contactez-nous par courriel ou par téléphone et nous vous le transmettrons celuici par courriel. Un assureur peut vous demander un certificat d’installation, simplement pour avoir la preuve que vous êtes protégé par un système de détection d’eau. Pour obtenir une réduction de votre prime d’assurance, le certificat d’installation est nécessaire. 

 

Q – Quel type de batteries sont requises pour les sondes? R – En fonction du type de capteur, il nécessitera des piles AA ou AAA. Q – Je reçois de nombreuses notifications intitulées « perte de signal », et mon eau ne semble pas se fermer. Est-ce normal et que dois-je faire ? 

R – Dans certains cas, la batterie d’un capteur peut être faible, ce qui entraîne l’envoi d’une notification de batterie faible ou de perte de signal. Pour remédier à cette situation, il suffit de remplacer la ou les piles à l’intérieur du capteur. Selon le type de capteur, des piles AA ou AAA seront nécessaires. Si le problème persiste, malgré le remplacement des piles, il se peut que ce capteur soit défectueux ou qu’il y ait présence d’interférences dans votre unité qui empêche le capteur de bien communiquer avec le contrôleur de votre unité. Si tel est le cas, nous vous demandons de nous contacter afin que nous puissions déterminer la cause à distance ou par la visite d’un technicien certifié. 

 

Q – La valve d’eau se ferme et s’ouvre toute seule. Que dois-je faire ? 

R – Communiquez avec notre service à la clientèle pour procéder à certaines vérifications afin de mieux diagnostiquer le problème. 

 

Q – Pourquoi dois-je payer un frais récurrent chaque mois? 

R – Le frais mensuel vous donne accès à la plateforme AkiCentral et permet d’obtenir un service personnalisé à distance. AkiCentral est un moyen d’accéder rapidement aux informations de votre système et des composantes installées dans votre unité. 

 

Q – Comment puis-je m’inscrire à la plateforme Akicentral? 

R – Communiquez avec notre service à la clientèle afin de mettre vos informations à jour pour que nous puissions vous transmettre un courriel de Bienvenue avec vos accès. Q – J’ai remarqué qu’il n’y a pas de sonde installée pour le bain. Pourquoi? Et, est-ce possible d’en installer une? R – Bien que rare, ce type d’installation peut être réalisé. Cependant, s’il n’y a pas de trappe d’accès, il faudra construire une trappe pour installer le capteur sous la baignoire. Il s’agit d’une situation au cas par cas, qui nécessite l’accord de votre société de gestion immobilière et/ou de votre syndicat. 

 

Q – Pourquoi mon eau se ferme une fois par jour sans raison? 

R – Après 24 h, le contrôleur cesse de recevoir l’état du détecteur de mouvements et le système traite cette l’information comme une absence dans l’unité et procède à la fermeture de là, ou les valves. Pour remédier à la situation, effectuer le changement de la pile AA dans votre détecteur de mouvements. Contactez-nous si le problème persiste.

 

En condo, qui paie pour les dégâts d’eau?

En condo, qui paie pour les dégâts d’eau?

En copropriété, les dégâts d’eau sont souvent lourds de conséquences. Imaginez un chauffe-eau qui coule ou une laveuse qui déborde au quatrième étage, causant des dommages aux étages inférieurs. Dans ce cas, qui paie quoi?


«C’est toujours compliqué, en condo, car deux assurances interviennent», indique Line Crevier, porte-parole du Bureau d’assurance du Canada (BAC).

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Condo et dégâts d’eau

Condo et dégâts d’eau

Les dégâts d’eau sont un véritable casse-tête… Depuis 10 ans, ils sont la première cause de réclamation en assurance habitation, tous types d’habitation confondus.

 

Les dégâts d’eau sont un véritable casse-tête… Depuis 10 ans, ils sont la première cause de réclamation en assurance habitation, tous types d’habitation confondus.

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LES SYNDICATS DE COPROPRIÉTÉ SOUS LA LOUPE DES ASSUREURS

LES SYNDICATS DE COPROPRIÉTÉ SOUS LA LOUPE DES ASSUREURS

«Les assureurs serrent la vis aux copropriétés », titrait un article du Condoliaison publié à l’automne 2009. Un an plus tard, cette affirmation a pris tout son sens. En matière d’assurance, l’étau se resserre à l’égard des syndicats de copropriétaires. Et pour cause, puisque «l’entretien déficient, les investissements insuffisants, tout autant que le manque d’argent investi dans le fonds de prévoyance, sont des éléments-clés qui touchent directement l’expérience de sinistres en copropriété », affirme le Bureau d’assurance du Canada (BAC). À ce rythme, et en raison du vieillissement du parc immobilier de la copropriété, la problématique ira-t-elle en s’aggravant?

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Chronique sur la pagaille dans l’assurance condo

CHRONIQUE SUR LA PAGAILLE
DANS L’ASSURANCE CONDO

La confusion règne dans le monde de l’assurance condo. Assureurs, experts en sinistres et courtiers d’assurance s’obstinent sur l’interprétation du projet de loi 141 adopté en juin dernier.

Les premiers articles de cette loi sont entrés en vigueur juste avant Noël. Mais l’industrie ne s’entend pas sur leur portée exacte. Et devinez qui fait les frais de cette pagaille ? Eh oui, les copropriétaires qui ne comprennent absolument rien à ce charabia juridique.

« Il y a encore du flou artistique sur l’interprétation et la mise en application de la loi », constate Lisane Blanchard, porte-parole de la Chambre de l’assurance de dommages (CHAD), qui veille à la protection du public.

« Il y a un sérieux problème de compréhension du nouveau cadre législatif », confirme Yves Joli-Coeur, avocat spécialisé en droit immobilier et secrétaire général du Regroupement des gestionnaires et copropriétaires du Québec (RGCQ). Il a d’ailleurs écrit une lettre au ministère des Finances pour se plaindre des zones grises de la loi.

Il faudrait que Québec éclaircisse tout cela au plus vite, car des assurés se retrouvent actuellement le bec dans l’eau. Certains assureurs – mais pas tous – refusent carrément de les indemniser.

***

Le cabinet de courtage PMT Roy, qui assure quelque 750 copropriétés à travers le Québec, vient de voir passer trois réclamations problématiques en une seule semaine.

Dans un cas, un robinet usé a causé des dégâts de 5000 $. Mais le syndicat des copropriétaires ne peut pas être indemnisé, car son assurance comporte une franchise de 25 000 $, ce qui n’est pas rare. À cause de l’explosion des dégâts d’eau ces dernières années, certains assureurs ont haussé leur franchise jusqu’à 100 000 $.

L’assureur du copropriétaire sinistré refuse lui aussi de payer, en interprétant à son avantage la nouvelle loi. « Il dit que le syndicat devra faire la réparation lui-même et payer de sa poche », rapporte Annie Gosselin, courtière en assurance de dommages des entreprises chez PMT Roy.

Ça va faire des flammèches ! Si les syndicats doivent payer eux-mêmes chaque fois qu’il y a des dommages inférieurs à la franchise, les copropriétaires recevront des cotisations spéciales juteuses. Ils risquent d’être furieux contre leur voisin nonchalant.

« Pourquoi je paierais pour lui ? diront-ils. Moi, mon chauffe-eau, je l’ai changé ! Moi, ma robinetterie est en bon état ! » Belle chicane de voisins en perspective…

« Si certains assureurs continuent d’avoir cette philosophie-là, les copropriétaires ne verront plus au remplacement de leurs appareils sanitaires et à l’entretien de leur partie privative, sachant que c’est leur syndicat qui va payer chaque fois. Ce n’est pas raisonnable », estime Mme Gosselin.

***

Remettons les pendules à l’heure.

Depuis 1994, le syndicat des copropriétaires doit assurer toutes les parties communes et privatives de l’immeuble, explique Me Joli-Coeur. Mais la plupart des déclarations de copropriétaires forcent ceux-ci à s’assurer en responsabilité civile pour rembourser le montant de la franchise du syndicat. Cette obligation aura bientôt force de loi.

Avec la nouvelle loi, le syndicat n’aura plus l’obligation de faire une réclamation à son assureur pour tous les sinistres, ce qui pouvait être désavantageux lorsque les dégâts dépassaient légèrement la franchise.

Qu’il fasse ou non une réclamation, le syndicat aura toujours l’obligation de procéder à la réfection et il ne pourra jamais réclamer davantage que le montant de la franchise au copropriétaire fautif. C’est le terme « fautif » qui cause actuellement d’étranges interprétations…

Par ailleurs, les copropriétaires doivent aussi s’assurer pour leurs meubles et pour les améliorations apportées dans leur unité. Logique : pourquoi l’assurance du syndicat paierait-elle parce qu’ils ont installé des planchers en bois exotique ou un comptoir de cuisine en marbre ?

Pour aider les copropriétaires à mieux discerner et évaluer la valeur des améliorations apportées au fil des ans, le législateur va imposer aux syndicats la préparation d’une fiche descriptive suffisamment précise de l’unité de base. Quelle forme doit prendre cette fiche ? Ce n’est toujours pas clair…

Mais si les syndicats ne le font pas, tout l’immeuble sera présumé sans modification, donc assurable en entier par le syndicat. La loi n’est pas encore en vigueur, sauf pour les immeubles construits depuis le 13 juin 2018. « Mais les assureurs l’appliquent comme si elle l’était déjà, de telle sorte que des experts en sinistres disent n’importe quoi », déplore Me Joli-Coeur.

***

L’adoption du projet de loi 141 n’est qu’une pièce du puzzle de la grande réforme du droit de la copropriété.

L’autre morceau était le projet de loi 401 déposé par la ministre libérale Lise Thériault en juin dernier. Malheureusement, le projet est mort au feuilleton et il reste à voir si la Coalition avenir Québec aura la motivation de reprendre le flambeau.

C’est pourtant essentiel. Les règles entourant la copropriété vont avoir 50 ans cette année. Pas jeune, jeune !

En 1969, les condos étaient un phénomène marginal. Aujourd’hui, la question touche beaucoup de monde. Au Québec, on compte plus de 413 000 ménages vivant dans une copropriété, soit presque 12 % de l’ensemble des ménages, selon Statistique Canada. Le pourcentage est encore plus élevé à Montréal où près d’un ménage sur cinq vit en condo (18,5 %).

Il est grand temps de faire le ménage dans ces règles dépassées.

Alors que le parc de condos prend de l’âge, il faut resserrer les règles entourant les fonds de prévoyance pour éviter que les coffres soient vides lorsque des travaux majeurs surviennent.

Et maintenant qu’on a d’immenses édifices de plusieurs centaines de copropriétés, il faut s’assurer que les gestionnaires sont des professionnels qui ont les compétences requises pour s’y retrouver dans cet univers complexe.

STÉPHANIE GRAMMOND

LA PRESSE

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